Une représentation scolaire à 14h30, vibrante, électrique, sauvage à vous coller des frissons quand le public adolescent se met lui aussi à hurler à la lune, à la fin de l'oratorio de l'épisode 2. Un public de concert rock qui écoute aussi, suspendu, les mots à nu, les rythmiques, les chocs sonores.
Et une représentation tout public aussi énergique que délicate, le soir, qui nous cueille, tous âges mélangés, jusque tard dans la nuit.
Il faut saluer ces quelques théâtres comme l'Espace Boris Vian et leurs directeurs/directrices qui osent s'engager dès la première saison d'un spectacle pour lui donner le temps et toutes les chances, à peine créé, de rencontrer son public pour trouver sa géométrie idéale et s'ajuster. Merci !
Chiens de la ville, quand la nuit tombe…
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