lundi 9 janvier 2017

Sylvie Gauduchon


Je me rappelle son regard lumineux, son rire, sa voix, sa grâce et sa sensibilité, leur absence va créer un grand vide à la Tête Noire, sur scène et dans les bureaux, comme dans le coeur de toutes celles et ceux qui ont eu la chance de la croiser et de travailler avec elle, dont je fais partie. Nous avons souvent ri avec elle, c’est ce dont je me souviens le plus, ses yeux plissés de rire, que ce soit autour de la création de Louise/les oursde Partir en écriture année 1 ou pendant les différents Text’avril.


Aucun commentaire: