“Rose, Rose, Rose” continue de se déployer dans de nouvelles langues. Suite à la lecture au CCTA de Saint-Priest, c'est en ce moment Joséphine Caraballo qui traduit certaines parties du corpus en espagnol et Antonella Amirante qui fait de même en italien, tandis qu'Héloïse Esquié continue vers l'anglais/américain et Marianne Ségol, bien sûr, du français au suédois et du suédois au français :
Cuando la luz baja durante los bailes lentos, veo el rojo de nuestros corazones
que
late a traves de la ropa
bajo la piel
como una luz dentro de todas esas y esos
que
bailan
que
esperan
que
rien
que
se abrazan
que
se evitan
que
se inchan de patatas fritas…
Quando la luce cala al momento dei lenti, vedo il rosso dei nostri cuori
che
batte attraverso i vestiti
sotto la pelle
come una luce all’interno di tutte quelle e tutti quelli
che
ballano
attendono
che
ridono
che
si abbracciano
che
si evitano
che
si abbuffano di cips…
Rendez-vous le 22 mai à Malmö pour la prochaine lecture…