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Après un grand beau soleil de printemps, il pleut de nouveau, comme si les anges vidaient des bassines, on dit, ici.
Marzïa, le livre, est arrivé hier au TMA, pile à temps pour la présentation de saison, à 21h30 : une salle comble, un public complice, attentif, en appétit, une saison riche, ouverte et pointue dans laquelle je mesure ma chance que Marzïa figure, grâce à José Martins et Joaquim Benite qui me permettent de boucler la boucle, de venir offrir au public d’Almada ce que j’ai écrit chez eux, il a quatre ans à peine.
Et quel plaisir de découvrir, imprimée, cette subtile traduction portugaise d’Alexandra Moreira da Silva, que j’écoute chaque jour en répétition, que je regarde se déployer.