A rester à la maison, les arbres leur manquèrent. Surtout à un enfant qui les adorait. Les arbres et la forêt lui manquèrent tellement qu'il se mit à rétrécir à vue d'oeil. Avant qu'il disparaisse complètement ou que quelqu'un lui marche dessus sans faire exprès, le grand cerf vint s'agenouiller devant lui : “Monte sur ma tête, lui dit-il, viens t'asseoir.” L'enfant minuscule crapahuta sur la tête du cerf et s'assit sur son front entre ses deux bois, enserrant chacun de ses petites mains. Le cerf se releva, l'enfant rit. “Ça va mieux ? demanda le cerf. “Oh oui !” cria l'enfant.
Staying at home, they missed the trees. A kid especially missed them as he loved them. He missed trees and woods so much, he began to shrink rapidly. Before he disappeared totally or someone walked over him accidentally, the big deer came and kneeled in front of him. “Jump on my head, he said, come and sit there.” The tiny kid climbed on the deer's head and sat on its forehead, between its two antlers, holding them firmly with his small hands. The deer stood up, the kid laughed. “Feeling better?” asked the deer. “Oh yes!” shouted the kid.
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